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Mémoire des murs, des objets et des empreintes sur soi

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Aborder un sujet aussi « particulier » pourra paraître surprenant et pourra choquer certain(e)s… et pourtant…

Les cartésiens « purs et durs » (je ne crois que ce que je vois, ce que la science n’explique pas n’existe pas ?!…), ainsi qu’une grande partie des professionnels de la santé, vont simplement rire et hausser les épaules avec dédain et une certaine compassion, ce que je déplore sincèrement, des réflexions, des échanges s’avérant toujours intéressants et bénéfiques, nous ignorons, nous refusons, et nous occultons, (souvent), ce « monde subtil », il n’en fut cependant pas toujours de même…

Quand on aborde ce sujet, les réactions sont très variées et souvent fort différentes, pour beaucoup c’est le rejet immédiat, presque apeuré, c’est un sujet tabou qu’il est interdit d’aborder, c’est « jouer avec le Diable »… on n’en parle pas !… d’autres se posent en « initiés » possédant les secrets divins, parlant de « complot mondial occulte » et mélangeant allègrement extra-terrestres envahisseurs, « bas-astral »,… la grande majorité vous regarde d’un air ahuri… de quoi il parle ?… il délire ?!…

Il y a quelques années, tout en étant conscient de l’existence de ces phénomènes, j’aurais certainement moi-même haussé les épaules, car je ne me sentais pas vraiment concerné, et cela me paraissait très « abstrait » et sans véritable influence sur ma vie, mais au fil du temps… de mes recherches… des témoignages et certaines « circonstances bizarres » ?… m’ont amené à modifier mes points de vue…
* Je tiens à souligner que je ne désire faire entrer ici aucune considération métaphysique « pratique » ou religieuse, je souhaite simplement rester le plus strictement « technique » possible, loin de l’ésotérisme facile, et dans le respect de chaque croyance…

Grosso-modo, on pourrait classer ainsi ces énergies subtiles que l’on appelle aussi l’irrationnel, ou encore phénomènes paranormaux :

Une mémoire des murs et des lieux

Tout ce qui se déroule dans un bâtiment crée des ondulations, à la manière d’une pierre que l’on jette dans une mare, et qui imprègnent au fil du temps les lieux de vie d’énergies négatives (ou positives), tout évènement accompagné d’émotions fortes, positives ou négatives s’y impriment avec plus ou moins d’intensité.

Ainsi, dans un habitat perturbé, on remarque des endroits où l’on se sent bien, et d’autres, au contraire, que l’on n’aime pas fréquenter, les animaux sont eux très sensibles à de tels phénomènes, ce qui peut les conduire à ne pas vouloir pénétrer dans certaines pièces, ainsi, après « correction » appropriée, on observe la plupart du temps que ces derniers les « réintègre » sans crainte, qui sait réellement ce qui s’est passé là ou il(elle) vit ?…

Ces formes de nocivités étant plus subtiles et donc moins faciles à mettre en évidence, il pourra par exemple s’agir d’un lieu historiquement chargé, qui pourra émettre des énergies perturbatrices… ou des émotions ressenties par les personnes qui ont construit l’habitation…, qui l’ont rénovée…, par les habitant précédents…, par les occupants actuels, ainsi que leurs invités…, qui laissent ainsi des résidus émotionnels et imprègnent l’énergie du lieu…

Ce pourra aussi le cas de maisons dites « maudites » ou « hantées », ou les résidents successifs rencontrent des soucis dans leur vécu…
C’est ainsi qu’on pourra retrouver des pièces malsaines, là où par exemple des grands malades ont passé de longues heures de souffrances, et dont les murs en ont absorbé la douleur, voire la maladie, ces imprégnations, certes invisibles… impalpables… marqueront cependant de leur empreinte le lieu, et la pièce rayonnera cette souffrance emmagasinée… pour la restituer longtemps après… les occupants qui succéderont pourront être fortement perturbés par ces rayonnements ambiants… inversement, des lieux où se sont déroulés des évènements heureux rayonneront une ambiance vibratoire positive…

Des « présences »…

Parfois, à leur décès, ne pouvant quitter leurs biens matériels qui représentait tout pour eux, certains esprits que l’on appelle encore « âmes errantes », ou bien « entités », errent dans leur maison occupée par « des étrangers », et où ils ne reconnaissent plus rien, cherchant alors à chasser ces usurpateurs de « chez eux » par tous les moyens qui leur sont possibles, et pouvant « parasiter » certains des nouveaux occupants.

Il s’agit souvent de personnes de l’entourage proche, récemment décédées, qui veulent juste que l’on soit en paix, que l’on comprenne qu’ils vivent toujours, mais « sur un autre plan », que tout va bien pour eux, et qu’il ne faut pas que l’on soit triste et malheureux, que la mort n’est pas une séparation définitive, mais juste un éloignement temporaire…

Il arrive aussi que « ces personnes » viennent pour nous soutenir, pour nous donner de la force, face à nos épreuves ou un désespoir, ou tout simplement, pour nous rendre une « visite », ou encore pour que nous délivrions à leur place un message, ou que nous fassions une chose qu’ils n’ont pas eu le temps de finir et qui est importante à leurs yeux, ouvrons ici une parenthèse pour dire aussi que le fait d’être déchiré lors de l’épreuve d’un deuil (qui est légitime bien évidemment), empêche (involontairement ou volontairement) ces êtres cher de partir vers l’au-delà et de continuer leur chemin, car nous les retenons dans notre monde par la pensée, ce qui n’est pas bon pour eux et les rend « prisonniers » de ce monde qui ne leur convient plus.

Il pourra arriver encore que ce soit simplement un esprit ayant besoin de notre aide pour partir par la prière, ou encore parce que nous habitons la même maison que lui, il pourra arriver aussi (plus rarement) que ce soit un mauvais esprit qui ne veut pas de nous dans « sa » maison.
Ces « entités » sont en général des esprits « désincarnés » malheureux, « des âmes errantes », qu’il ne faut pas craindre mais plutôt aider, car ils sont obligés de « s’accrocher » sur des points particuliers ainsi qu’aux vivants pour pouvoir subsister dans cette attraction terrestre, et pour ce faire, ils « pompent » leur énergie, jusqu’au jour, où pour favoriser leur libération, on leur apporte un regain de cette énergie qui va leur permettre de « s’arracher » définitivement à cette attraction magnétique.

Le contraire sera heureusement également vrai, les maisons où des familles ont vécu dans la joie et le bonheur, irradieront bénéfiquement pour les habitants suivants, qui s’y trouveront également heureux.

Âmes errantes, fantômes, entités,… nous sommes ici en zone demeurée tabou pendant de nombreuses années…

Géobiologie de l’habitat, les entités

Peut-être avez-vous parfois l’impression « d’une présence » proche de vous, dans votre chambre ou celle de vos enfants, les enfants et les animaux étant plus sensibles que les adultes à ces manifestations, votre enfant vous dit peut-être « qu’il voit quelqu’un dans sa chambre la nuit », par exemple… il est possible que ce soit une âme errante qui demande de l’aide, car elle est bloquée ici-bas…

Tout en respectant chaque croyance, il faut reconnaître que nous sommes souvent confrontés à ce type de phénomène en Géobiologie…

Quels peuvent être les effets ?

Quand on est sensible à la perception de ces phénomènes, on ressent très bien le moment ou une « entité » pénètre dans son aura, ce qui pourra se manifester par :

une sensation subite d’angoisse au niveau de la gorge ou du plexus solaire.
un malaise subit, des nausées, des tremblements.
un sentiment d’anxiété brutale.
une difficulté à s’exprimer…
des frissons, la « chair de poule », une sensation d’être subitement glacé.
une sensation de léger choc et un dérèglement du rythme cardiaque.
une douleur sourde au niveau du coeur.
une sensation de faiblesse inhabituelle, ou une grande fatigue subite, une faiblesse, un malaise.
des troubles de la vision, une brûlure autour des yeux.
une difficulté inhabituelle à se concentrer, et à avoir des idées claires.
des « crises de sommeil » brutale et intense, en plein milieu de la journée…
ou encore des insomnies soudaines et inexpliquées…

Selon des études réalisées par des thérapeutes orientés bioénergétique, il semblerait qu’environ 30% d’entre nous subissent la présence d’une énergie néfaste dans le corps énergétique…
Géobiologie de l’habitat, les failles énergétiques Ayant besoin d’une source pour se maintenir, ces présences « parasitant » le corps énergétique afin de pouvoir subsister, dans les cas de « possession » (heureusement rares), le parasitage pouvant aller jusqu’à altérer le caractère, ou encore influencer les pensées et les actions.
Ainsi, selon la qualité de son champ vital, une personne « accompagnée » pourra très bien, soit ne pas s’en rendre compte, soit s’y accoutumer, d’autres pourront ressentir une sensation de poids, de fardeau sur leurs épaules, ou bien une sensation désagréable et des migraines dans les cas plus sévères.

La présence d’une énergie parasite dans le corps énergétique ayant la particularité de modifier sa structure, le plan vertical notamment, étant perturbé et accusant un décalage plus ou moins prononcé (ce qui peut également être un des aspects « diaboliques » du téléphone portable qui induit le même genre de décalage, d’où l’intérêt de l’éteindre avant de s’inquiéter inutilement ou de suspecter une autre cause)…

Dans d’autres cas, perdre une partie de l’énergie au profit d’une (ou de plusieurs) présence(s) parasite(s) pourra être révélateur :
D’un mal nécessaire (?)… ces énergies parasites pouvant aider à expérimenter des choses difficiles dans sa vie qui pourront être alors le révélateur de situations traumatiques plus anciennes, connaître et identifier « ces locataires indésirables » sera alors une clef pour comprendre et résoudre différentes problématiques dans son histoire.
De la conséquence d’un environnement perturbé… qui rassemble des énergies en résonance avec le lieu : la personne qui y séjourne s’exposant à ce type de « rencontres », en harmonisant son lieu de vie, on « sécurisera » son environnement immédiat.
Ou encore d’un champ vital perméable… les énergies parasites s’installant dans le champ vital en profitant d’une « faille » énergétique, le rétablissement de la structure de protection s’effectuera alors par des soins de rééquilibrage afin de retrouver l’intégralité de ses capacités.

Charles Webster Leadbeater, un des grands pionniers « de cette exploration », a parfaitement résumé la situation : « L’homme vit en général au milieu d’un monde invisible immense et habité, sans s’en douter aucunement… » et plus loin il a brossé un schéma structurel d’une minutieuse et grande précision : « … il existe dans la nature différents plans ou départements, à chacun correspond une matière qui lui est spéciale, d’une densité appropriée, matière qui interpénètre toujours la matière du plan immédiatement au-dessous… »

Pour se reconnaître dans ce monde invisible, on pourra adopter la nomenclature de l’antiquité grecque ou romaine, qui parle de Nymphes, de Dryades, d’Oréades, d’Épiméliades, d’Agriades, de Stryges, de Lémures, ou bien préférer le vocabulaire Celte qui est resté vivant dans toute notre Europe occidentale, et qui peuple notre folklore familier avec les Fées, les Lutins, les Elfes, les Follets, les Goblins, les Kobolds, et les innombrables « esprits » et « génies » qui animent les contes et les légendes de nos pays.

Si l’on préfère un exotisme plus pittoresque, on adoptera les appellations poétiques des Chinois, des Indiens ou encore des Arabes (le génie d’Aladin, par exemple)…

La frontière entre le monde astral et notre monde physique étant très poreuse, nous cohabitons dans le même espace et sur la même planète, ce qui nous sépare n’étant seulement qu’une différence de nature, d’essence et de taux vibratoire, les échanges de visites s’effectuant sous certaines conditions qu’il est parfois difficile de remplir, chacun menant sa vie de son côté, et les rapports ne s’établissant que par accident, ou bien par curiosité.

Ainsi, selon une classification classique, issue de la tradition, on distingue :

Le bas-astral… qui comprend toutes les entités qui grouillent, peut-être une étape de transition entre l’animal et l’humain ?…, ces êtres inférieurs participant dans une certaine mesure à l’évolution de l’humanité, ils seraient sans âme, sans raison, sans morale, et seulement affectifs et instinctifs, il semblerait également qu’ils soient mortels, d’une longévité variable, leur vie en général serait fragile, parfois même éphémère…

D’où viennent-ils ?… Se reproduisent-ils ?… Qui les crée ?… Qui les engendre ?… Mystère… la seule certitude que l’on ai, c’est que certains d’entre eux, une infime minorité, seraient des créatures de l’homme, le nombre d’initiés connaissant les secrets et les techniques de la création étant extrêmement réduit.

Géobiologie de l’habitat, les fantômes
Les âmes en « peine »… « Animula vagula, blandula, hospes comesque corporis, quae nunc abibis in loca, pallidula, rigida, nudula, nect, ut soles, dabis jocos… » (« Petite âme tendre et flottante, compagne de mon corps qui fut ton hôte, tu vas descendre dans ces lieux pâles, durs et nus, où tu devras renoncer aux jeux d’autrefois… ») Hadrien

Ce sont les morts qui ne se décident pas à quitter notre monde physique, parce qu’ils ne veulent pas ou ne peuvent pas entreprendre la marche vers les plans supérieurs, vers la lumière, tant ils ont l’âme basse et chevillée au corps, alors, ils traînent à notre niveau, mais dans les limbes obscurs, guettant le moindre appel, la plus petite brèche, qui leur permettrait de refaire surface, d’émerger de nouveau dans ce bas monde délicieux où on mange, où on boit, où on jouit, où il fait chaud et clair…

Ce pourra aussi être des personnes décédées brutalement, dans un accident de la route, en avion (les passagers dormant profondément),… par suicide,… un promeneur tué par une balle perdue, un nageur foudroyé par une crise cardiaque,… ou encore sur les lieux de massacres ou de guerre, par exemple, où les âmes errantes sont nombreuses, ne se rendant pas compte qu’elles sont décédées, et cherchant à communiquer.
Dans d’autres cas, il pourra s’agir d’un  » départ contrarié  » : un élément matériel retenant l’âme au monde auquel elle appartenait et la maintenant dans un état transitoire.

Ainsi, un décès intervenu de manière brutale ou sous tranquillisants, par exemple, empêchera l’âme du défunt de prendre conscience de ce qui lui arrive, d’où son blocage dans ce qu’il est communément appelé « le bas astral », et pour s’y maintenir, elle a besoin de l’énergie terrestre qu’elle va puiser auprès des vivants, dans certains objets, ou encore en utilisant l’installation et les appareils électriques, par exemple.

Ces âmes, qu’on ne doit pas confondre avec les entités du bas-astral, se manifesteront alors aux vivants chaque fois qu’elles en auront l’opportunité par des craquements de meubles, de parquet, ou bien elles hanteront les lieux, pour qu’on les aide à retrouver la paix et leur faire quitter le plan terrestre, afin de retrouver leur chemin de lumière…

Il pourra parfois s’agir « d’égrégores », produits par des pensées morbides, malsaines et répétées qui finissent par se matérialiser, tel un brouillard vicié autour de leur concepteur ou de son environnement, et qui peuvent migrer vers d’autres supports humains ou animaux en les affaiblissant énergétiquement de jour en jour, ou encore des personnes qui se sentent mal dans leur peau, mal à l’aise, dont les rapports avec les autres ne sont pas détendus, et ce, malgré eux, leur vie devenant alors un enfer ils n’osent plus rien dire, plus rien faire, car tout se termine par de la colère ou des disputes, les médicaments, tranquillisants, ou autres, n’y pouvant rien, ces malheureux se sentant « envoûtés », persuadés « qu’on fait un travail » sur eux, ils parlent de magie noire, d’exorcisme, les envoûtements existent…

* Un exemple parmi d’autre, une commerçante n’en pouvait plus, anéantie par son incapacité à gérer sa vie, une tante autoritaire, qui l’ayant pratiquement élevée et considérant qu’elle seule pouvait la diriger, était toujours présente, « partit » avec beaucoup de difficultés après lui avoir promis de pouvoir revenir librement ultérieurement, ce qu’elle « prouva » plus tard…

Les formes-pensées… qui elles, sont créées et émises par nos imaginations et nos désirs, et ne vivraient que tant qu’elles sont alimentées par le fluide vital de leurs créateurs, ces formes-pensées certes existent et vivent, elles ont une forme, une substance et un pouvoir d’action, elles ressembleraient à des bulles de savon, toutefois, il faut plus qu’une pointe d’aiguille pour les crever, et leur puissance peut être redoutable, pour le bien, comme pour le mal.

Les bienveillantes… souvent issues de la famille, ou d’amis très proches, protégeant une personne en particulier ou à toute la famille, et « restant » par amour de la (ou des) personne(s).

Les guides de lumière… eux, se feront ressentir de multiples façons en fonction de la sensibilité de leurs hôtes, afin de manifester leur présence :
c’est ainsi que lorsqu’on examine une habitation, par exemple, on s’aperçoit que l’énergie est anormalement basse, ou que la Géobiologie de l’habitat, les guides de lumière les résultats sont fantaisistes,
ou encore, on est suivi par X entités, qui sont toujours les mêmes, jusqu’à ce que le message soit reçu, et lorsqu’il est réceptionné, elles disparaissent,
des signaux peuvent aussi se manifester, tels que des lumières ou la télé qui s’allument, des coups, des bruits, des objets déplacés, ou mis en évidence, afin de faire prendre conscience qu’un message nous attend, le plus difficile étant de le détecter puis de le décrypter.

Géobiologie de l’habitat, les esprits de la nature

En n’oubliant pas les esprits de la nature… sinon la plus riche, du moins celle dont les ressortissants nous sont les plus familiers, qui comprend les personnifications des forces de la Nature, notamment les énergies des quatre Éléments, qui prennent figure, forme et apparence, dans tous les textes poétiques, comme dans toutes les circonstances de la vie courante.

Dont une tentative d’unification et de simplification fut réalisée selon les principes de la Kabbale : « II fut convenu, nous dit Piobb, que ces Élémentals et ces Esprits seraient rangés en quatre catégories : celle de la Terre comprenant les Gnomes, celle de l’Eau comprenant les Ondines, celle de l’Air comprenant les Sylphes et celle du Feu comprenant les Salamandres… »

Géobiologie de l’habitat, la pyramide de Kéops

Les émissions d’ondes de forme occupent une place à part parmi les différentes manières d’aborder la Géobiologie.
Toutes les formes émettent des ondes, leur action et leur puissance dépendant de la forme elle-même, notre quotidien est peuplé de formes qui rayonnent chacune une énergie spécifique et influent constamment notre quotidien, nous retrouvons ces formes géométriques dans la nature : le cercle, le carré, la spirale, le triangle, l’étoile… certaines formes ayant été nourries au sein de traditions ancestrales jouissant d’une grande force : citons le yin-yang taoïste, la croix ansée égyptienne, ou encore le sceau de Salomon, pour les plus connues…

figure1

Prenez une feuille de carton et construisez un modèle réduit de la pyramide de Chéops, en respectant bien les mesures et les proportions… Orientez votre structure sur le nord magnétique, ou plus précisément, sur son nord de forme…
Disposez au centre une simple boîte d’allumettes vide, elle-même orientée dans la même direction.
Sur ce petit socle, vous exposez un rasoir jetable usagé, et entre 48 et 72 heures plus tard, sa lame aura retrouvé son meilleur fil… elle coupera comme une neuve, et lorsqu’elle se sera de nouveau émoussée à l’usage, vous pourrez recommencer l’opération, jusqu’à quatre ou cinq fois…

Quelle mystérieuse énergie générée par cette structure pyramidale agit sur les molécules de l’acier avec lequel a été fabriqué votre rasoir ?… malgré les recherches réalisées, nul n’a encore pu apporter une réponse satisfaisante…
Avec ses étranges possibilités, la pyramide est la structure la plus connue, il en existe évidemment bien d’autres, comportant des associations plus ou moins complexes d’angles, de sphères, de parallélépipèdes, de cônes, ou de spires,…

Les émissions dues aux formes, pour employer le terme consacré, demeurent une énigme pour la science, et on est bien forcé d’admettre qu’elles appartiennent sans doute à une physique encore inconnue (bien que la physique quantique nous entrouvre la porte ?…, elle qui nous apprend que l’énergie est un support de l’information, et qu’ainsi, chaque objet rayonne ses propres informations spécifiques…).

Ainsi, tous volumes, toutes formes, ou toutes structures, génèrent des champs d’influence qui se font ressentir aussi bien autour d’un objet inanimé, que d’un être vivant, ces énergies étant liées à la forme et, au premier abord, indépendantes de la nature et de la couleur de la chose qui les émet… toutes produisant à des degrés divers des émanations énergétiques, sinon mesurables, du moins effectives.

Des simples dessins à deux dimensions, à condition d’obéir à des règles d’exécution et de mise en oeuvre bien précises, sont susceptibles de générer des émissions de force identiques… ce qui permet de supposer qu’une certaine géométrie conserve encore bien des secrets…

Largement utilisées par nos ancêtres, des Égyptiens aux Mayas, sans oublier les Chinois ou les Africains, ces forces étaient (et sont encore) notamment employées pour mettre en vibration les mégalithes, ainsi que tous les lieux de culte, qui utilisent pour ce faire les énergies primordiales du ciel et de la terre.

Toutes les formes qui nous entourent émettent… des lignes du paysage et de nos habitations, au moindre objet qui nous fait face…, nous vivons ainsi à notre insu dans un bain d’ondes inconnues, c’est d’ailleurs à l’équilibre infiniment subtil de cet environnement vibratoire que le Feng Shui consacre l’essentiel de sa démarche…
Lors d’une étude, ses spécialistes prenant en considération tout d’abord globalement, puis, dans les moindres détails, le tracé d’une montagne ou d’un simple coteau, les sinuosités d’un cours d’eau, le dessin d’un feuillage contre le ciel, la pente d’un toit… ils examinent précisément tous les paramètres formologiques du futur décor d’une maison, ou d’un immeuble.
La construction elle-même fera également l’objet de la même attention soutenue, et enfin l’intérieur, ses angles, ses meubles, ses bibelots…, rien ne sera laissé au hasard…

Ce souci des émissions dues aux formes dans le cadre de vie expliquerait peut-être pourquoi les Asiatiques ont beaucoup moins de mal que nous à vivre heureux et efficaces dans un environnement ultramoderne ?…
«… Il est toujours possible de corriger dans un sens bénéfique le plus mauvais Feng Shui qui soit, déclare un maître de Hong Kong, tout comme le simple trait d’un grand artiste fait du pire paysage une oeuvre digne des dieux… il suffit de tracer ce trait… »

Quelle peut-être leur influence ?…

Ainsi, une émission de forme pourra être positive, neutre, ou négative, en Géobiologie, nous utilisons notamment les émissions positives pour rééquilibrer un lieu…

Parallèlement, nous traquons les émissions négatives rencontrées, qui peuvent être générées par exemple, par un angle bizarre dans une pièce, ou d’un meuble, des objets tarabiscotés, des réduits clos… ou encore :
des tableaux à fils dont chaque pointe rayonne,
des masques africains, ou certains objets Égyptiens dont il conviendra de se méfier (comme toutes productions d’art primitif), très esthétiques, ces objets correspondant souvent à une fonction magique précise, et pouvant se retourner contre les habitants du lieu…

 Ou encore, des objets « chargés »

Il nous faut parler aussi des objets « chargés », qui sont imprégnés de l’énergie dégagée par les évènements qui les entourent, un objet acheté d’occasion, par exemple, conservera longtemps les traces de l’énergie de son ancien propriétaire, ou de son concepteur…

C’est ainsi qu’après avoir effectué « un nettoyage » et « une correction » des lieux…, on constate généralement que ces phénomènes perturbateurs disparaissent, et que l’on observe couramment des améliorations de l’état physique, psychologique, et aussi de la qualité du sommeil des personnes qui y vivent…

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